Le transport et la taille des pierres
Mur inca
Dans la carrière, les blocs de granit (pierre utilisée à Machu Picchu) sont détachés au moyen de coins de bois humidifiés peu à peu. Enfoncés dans les entailles des roches, ils gonflent et finissent par fragmenter la pierre. Une autre technique consiste à frapper ces coins pour obtenir le même résultat.
Les blocs sont ensuite transportés sur le chantier en les faisant rouler sur des rondins de bois. Le halage en haut des murs se fait au moyen de cordes et de rampes inclinées en terre.
Les blocs sont ensuite taillés et polis, au moyen d’autres pierres et de sable, car les Incas ne connaissent pas les outils en métal résistant (sauf peut-être le bronze, assez souple).
Les blocs sont ensuite transportés sur le chantier en les faisant rouler sur des rondins de bois. Le halage en haut des murs se fait au moyen de cordes et de rampes inclinées en terre.
Les blocs sont ensuite taillés et polis, au moyen d’autres pierres et de sable, car les Incas ne connaissent pas les outils en métal résistant (sauf peut-être le bronze, assez souple).
© William Simeonin
Les trois fenêtres en trapèze d’un temple à Machu Picchu
Les portes des maisons et les fenêtres ont la forme d’un trapèze, caractéristique de l’architecture Inca.
© William Simeonin
Dans la carrière, les blocs de granit (pierre utilisée à Machu Picchu) sont détachés au moyen de coins de bois humidifiés peu à peu.
Enfoncés dans les entailles des roches, ils gonflent et finissent par fragmenter la pierre. Une autre technique consiste à frapper ces coins pour obtenir le même résultat.
Les blocs sont ensuite transportés sur le chantier en les faisant rouler sur des rondins de bois. Le halage en haut des murs se fait au moyen de cordes et de rampes inclinées en terre.
Les blocs sont ensuite taillés et polis, au moyen d’autres pierres et de sable, car les Incas ne connaissent pas les outils en métal résistant (sauf peut-être le bronze, assez souple).